Le monde du sport sénégalais a accompagné, ce mardi, Marie Joseph KOTO à sa dernière demeure. C’est au cimetière de Saint-Lazar que l’ancien international et sélectionneur va continuer à « vivre » sa passion : Le foot. Oui, il va continuer à vivre sa passion. Parce que, l’a dit Birago Diop : « Les morts ne sont pas morts ».
Ce mardi, de sa levée du corps, à l’Hôpital Fann, en passant par l’Église des Martyrs de l’Ouganda, au Cimetière, Saint Lazar de Bethanie, une foule immense à assisté et accompagné Boud’Chou.
Aux premiers rangs, étaient bien positionnés les anciens internationaux. De toutes générations confondues. Meurtris, certains étaient inconsolables. Triste pour eux, de devoir continuer à vivre sans leur trait d’union.
Le president de la Federation Sénégalaise de football Me Augustin Senghor estime que cet homage rendu à Joseph Koto est une expression de reconnaissance de l’ensemble de la communauté sénégalaise pour le service qu’il lui a rendu en tant que joueur, entraineur, et citoyen toujours prêt à défendre la cause nationale.
Joseph Koto était un trait d’union. Fédérateur, il l’était aussi. Son cœur battait au rythme du sport. de sa famille, la Jeanne d’Arc, le club rival éternel, le Jaraaf, à la grande famille du football sénégalais.
Koto restera toujours au cœur des préoccupations.
Coach, Boud’Chou repose en paix.